[Liminaire] Habert François,
[Sans titre],
« Rien je ne quiers fors grief dueil et angoysse / Cela convient au Banny de lyesse », page de titre
[Liminaire] Habert François,
[Sans titre],
« Cum videam multos scripsisse epigrammata vates », f. 2 r° - v°
[Liminaire] Habert François,
Epistre liminaire à maistre Jehan Guilloteau, demourant à Paris, par laquelle l'Autheur estudiant à Tholose, luy envoya son livre comme à son secret amy, et cousin germain,
« Le plus grand heur qui me peut advenir », f. 3 r° - f. 4 v°
[Liminaire] Habert François,
La jeunesse du Banny de lyesse escollier à Tholose. Preface aux lecteurs,
« Puis que fortune incessamment me blesse », f. 5 r° - f. 7 r°
[Œuvre principale] Habert François,
Les Epistres [La jeunesse du banny de lyesse],
« [Incipit non renseigné] », f. 9 r° - f. 48 v°
[Œuvre principale] Habert François,
Les rondeaulx interlocutoires de deux amans avec leur mort,
« [Incipit non renseigné] », f. 49 r° - f. 61 v°
[Œuvre principale] Habert François,
Les ballades [La jeunesse du banny de lyesse],
« [Incipit non renseigné] », f. 61 v° - f. 64 r°
[Œuvre principale] Habert François,
Le cymetiere contenant plusieurs epitaphes,
« [Incipit non renseigné] », f. 64 v° - f. 68 r°
[Œuvre principale] Habert François,
Epigrammes [La jeunesse du banny de lyesse],
« [Incipit non renseigné] », f. 68 v° - f. 72 v°
[Liminaire] Habert François,
[Sans titre],
« Absentez vous de moye joye et lyesse / En suis banny, mon cueur gist en tristesse », f. 73 r° [liminaire à la suite de la jeunsesse du banni de liesse]
[Œuvre principale] Habert François,
S'ensuyt le livre des visions fantasticques, tant par imitation du sixiesme des Eneides de Vergile, que de l'invention de l'Autheur,
« Errant ung jour par le beau val Idée », f. 73 v° - f. 88 v°
[Post-Liminaire] Habert François,
[Sans titre],
« Fy de soulas / Vive tristesse, / Car je suis las / D'avoir lyesse. », f. 88 v° [post-liminaire au livre des visions fantastiques]
[Liminaire] Habert François,
[Sans titre],
« Dueil viens à moy, / Soulas fuy loing, / D'avoir esmoy / Je prens le soing. », f. 89 r° [liminaire aux traudctions d'Ovide]
[Liminaire] Habert François,
Epistre liminaire, par laquelle le Banny de lyesse dédie son livre à Monseigneur maistre Toussainctz de Mallessec, protenotaire du sainct siege apostolicq, Abbé de la Roche, nepveu de feu messire Marc Legroin, en son vivant chevalier, seigneur de la Mothe Augroin, et prevost de l’hostel du Roy nostre sire,
« Considerant jour en jour les biensfaictz », f. 89 v° - f. 91 r° [liminaire aux traudctions d'Ovide]
[Œuvre principale] Habert François,
La fable de Piramus et Thisbé et de leurs amours infortunées, traduicte en ryme Françoyse, de la metamorphose d'Ovide, par le Banny de lyesse, natif d'Yssouldun en Berry, amplifiée de son invention,
« Jadis advint qu'en deux corps pleins d'enfance », f. 91 v° - f. 104 v°
[Œuvre principale] Habert François,
La fable du beau Narcissus amoureux de sa beaulté, dont il mourut : d'Ovide, traduicte par le Banny de lyesse, natif d'Yssouldun en Berry, escolier estudiant à Tholose,
« Liriope à Cephesus conjoincte », f. 105 r° - f. 111 v°
[Œuvre principale] Habert François,
Egloge sur l'advenement de Jesuchrist, Bergers, Colinet, et Robinet : par luy presentée à monsieur le Protenotaire de Chastelus, Abbé de la Roche, nepveu de messire Marc Legroin, lors prevost de l'hostel,
« Ô Robinet, puis que le froid automne », f. 112 r° - f. 117 v°
[Œuvre principale] Habert François,
Estreines qu'il envoya à monsieur le grand vicaire de Beauvoir et aux damoyselles circonvoisines au pays de la Marche,
« [Incipit non renseigné] », f. 118 r° - f. 119 r°
[Œuvre principale] Habert François,
Epitaphe sur le trespas des trois barons,
« Trois d'ung estat, d'ung pays, d'ung courage », f. 119 v° - f. 120 v°